Après la mort de Pinochet, malheureusement trop douce pour ce qu'il a fait à de milliers d'innocents, c'était le tour de Saddam aujourd'hui, avec une pendaison bien mérité.
Ben oui, je suis Européen, mais je ne partage pas les opinions de nos représentants hypocrites.
J'aimerais d'ailleurs écrire quelques mots à ce sujet, en commençant par une question: Combien de personnes faut-il tuer pour mériter de mourir? 1? 2? 5? 10? 100? 1000? Plus encore? Et cette question nous mène directement à la suivante: Quand, un humain, perd-il son humanité? Jamais? Dès qu'il prend la vie d'un autre? Dès qu'il en prend plusieurs? Dès qu'il prend des vies par sadisme ou afin de satisfaire ses propres desseins? Et d'abord, "l'humanité", c'est quoi? Le respect de la vie des autres? Parce que dans ce cas, des gens comme Saddam, Osama et tous leur compagnons ne sont véritablement plus des humains. Ou, disons, qu'ils le sont "biologiquement", mais qu'ils sont une sous-espèce dangereuse (et dégénéré).
Admettons, on aurait butté/pendu/éliminé Saddam il y a 20 ans. Combien de personnes seraient encore en vie aujourd'hui? Le fait de pouvoir sauver ces gens aurait-il justifié sa mort?
Et de le maintenir en captivité jusqu'à sa douce mort (et encore, suffit que les lois changent) aux frais de la princesse (et on ne s'imagine pas ce que ça nous couterait), n'est-il pas tout aussi cruel, voir plus que d'abréger ses souffrances (psychologiques) une bonne fois pour toutes? A ce propos, n'est-ce pas un peu que de se moquer des victimes en offrant une vie en toute sécurité (et en tout confort) à ce genre de monstres? Pour qu'il puisse écrire ses mémoires et les vendre au plus offrant histoire de se faire quelques millions?
Il y a tout de même quelque chose qui cloche, non? Enfin, avec notre prétendu conception des droits de l'homme... à mon humble avis, ce concept est dépassé ou imprécis. Des types comme Saddam, Milosevic, Osama, etc. sont des monstres, des créatures qui n'ont plus qu'une apparence humaine, mais qui ont totalement perdu le respect de la vie. Donc la chose essentielle qui fait de nous des humains. De les enfermer nous rend coupables. Et manifestement, de leur donner la mort également. Donc, pourquoi ne pas laisser faire la nature? Les larguer en plein désert, au pôle nord ou sur une ile déserte en leur disant "Ben maintenant, vas-y! Démerde-toi, sale con!", par exemple? Après, qu'ils se fassent canner par un serpent ou un scorpion, qu'ils claquent de déshydratation, d'une fièvre, ou qu'ils se fassent bouffer par un ours polaire ou un truc dans le genre, ça ne serait à la limite la faute à personne et justice serait faite. Sans parler du fait que ça les forceraient à réfléchir (une dernière fois) à la valeur de la vie... en particulier de la leur... hé hé hé...
Non mais sans rire, ce topo existe depuis bien longtemps. Ben oui! Avant, quand quelqu'un semait la merde au sein d'un clan, d'une famille ou d'un village, on le bannissait! On s'en débarrassait et basta. Personne n'avait à tuer qui que ce soit et le monde était à nouveau en parfaite harmonie. On ne l'enfermait pas pour le torturer, le préserver ou lui permettre de semer la merde verbalement, on lui disait "Tu te casse! Bon vent!" et on le chassait à coups de battons... c'était très économique en plus. Moi, j'aime ce concept. Je le trouve très humain, propre, peu cher et efficace. Suffirait de faire en sorte que personne ne sache où la crevure ait été larguée. Franchement, je le convertirais bien en texte de loi et le soumettrais bien à la commission européenne pour vote...
Bref! Pour couper court, félicitations aux Irakiens qui ne ce sont pas laissés faire. Après tout, c'est leur pays, leurs coutumes, leurs lois. Ils ne viennent pas non plus nous faire chier lorsque l'on relâche un pédophile récidiviste pour la troisième fois chez nous, alors que chez eux, ils l'auraient déjà pendu après le premier coup pour avoir la paix.
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